ChatGPT a pris le monde entier par surprise l’an dernier, presque autant que si nous avions découvert une autre forme de vie. Depuis, l’intelligence artificielle évolue sans aucun encadrement, au point où certains parlent même de « Far West technologique ».
Les opportunités présentées par l’intelligence artificielle donnent le vertige autant que ses dangers.
Mais comment encadrer l’intelligence artificielle ? Qui doit le faire ? Comment faire en sorte que les entreprises et les individus qui développent et utilisent l’IA respectent des principes éthiques ? Doit-on légiférer maintenant une technologie que l’on comprend encore si peu ? Peut-on seulement le faire ? Le projet de loi C-27, déposé par le gouvernement fédéral, répond-il à ces enjeux cruciaux ? Et quel rôle le Québec et les autres provinces devraient-ils assumer ?
Ces enjeux, abordés dans une série de textes publiée récemment par Options politiques, ont également été discutés dans le cadre d’un webinaire auxquels ont participés des experts sur les enjeux éthiques, législatifs et juridiques entourant l’intelligence artificielle.
À lire dans cette série :
- L’éthique de l’intelligence artificielle attend le droit, par Jocelyn Maclure et Alexis Morin-Martel
- Le temps pour une loi sur l’intelligence artificielle est arrivé, par Céline Castets-Renard et Anne-Sophie Hulin
- Le risque d’attendre pour encadrer l’IA est plus grand que celui d’agir trop vite, par Jennifer Quaid
- Qui a compétence sur l’intelligence artificielle : Ottawa ou les provinces?, par Benoît Pelletier
- Comment légiférer sur l’intelligence artificielle au Canada, par Céline Castets-Renard et Anne-Sophie Hulin
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